De tout temps les hommes ont appris à façonner leur environnement. Car dépendre de la cueillette était fastidieux. Pour pouvoir manger sans faire des kilomètres tous les jours. Nous avons encore le travail de la Terre comme ces agriculteurs qui animent leur territoire. 

Il faut savoir être intégré à son environnement pour pouvoir le valoriser. Regarder chaque jour les progrès et avancées de la nature. C’est un privilège que d’être attentif à son développement. Pouvoir jouir de sa compagnie simple et exigeante.

Tellement de métier existe, le cultivateur de céréales qui nous permet de manger des produits de base, qui intervient dans tous les produits préparés. À celui plus immédiat tel que l’apiculteur. Entre la nature et le client il n’y a que deux intermédiaires. L’abeille et son berger

Car il n’a même pas besoin de les guider, juste de positionner les ruches dans un environnement favorable, comme un berger amène ses animaux pour paître dans un pré ou un autre. 

Les arboriculteurs sont là pour nous donner de bons fruits, source de vitamine. Que de temps passer à chérir un arbre pendant des années pour enfin voir espérer une récolte. Que d’ennemis de l’arbre fruitier tel que mouche et grêle peuvent intervenir pour empêcher une belle production. 

Et n’oublions pas les éleveurs permettant à la population de satisfaire à nos envies carnassier. Quoiqu’on en dise nous resteront toujours dépendant d’apport de protéine, elles peuvent aussi être végétales bien sûr. 

Nous sommes passés d’une agriculture féodale et manuel à une agriculture d’exploitant et mécanisée. D’une agriculture simple à des domaines entièrement gérée avec l’aide de l’informatique. La seule chose que nous n’arrivons pas à maîtriser est notre soif de contrôle sur le monde. Toujours plus, toujours plus vite. 

Nous sommes capables de prouesse technologique et heureusement certaines société se développe pour une alimentation plus respectueuse mis comme bien souvent le profit et là pour empêcher facilement le changement. 

Nous avons une réticence à remettre à plat toute forme d’industrie qui marche. Même lorsque nous savons qu’elle est néfaste pour l’environnement. Mais quand il s’agit de manger une faible partie de cet environnement on se sent touché par les pesticides. Par les agriculteurs qui n’arrivent plus à produire à cause du dérèglement climatique. 

Regardez dans vos assiettes et posez- vous la question, est-ce que j’honore ma planète en mangeant ce repas. 

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